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MÉDECINS COMME « FONCTIONNAIRES DE VACCINATION » – La responsabilité médicale pour les dommages liés au vaccin COVID est donc exclue


Avec son arrêt du 9 octobre 2025 – III ZR 180/24, la Cour fédérale de justice (BGH) a gravé dans le marbre pour la pratique judiciaire ce que plusieurs tribunaux d’instance avaient déjà jugé : si un médecin administre un vaccin COVID-19 et commet des erreurs (par ex. une information insuffisante sur les risques), ce n’est pas le médecin qui est responsable, mais (exclusivement) l’État.



Le jugement écrit n’est pas encore disponible. Cependant, les considérations essentielles qui ont conduit le BGH à cette décision peuvent être consultées dans un communiqué de presse :
https://www.bundesgerichtshof.de/SharedDocs/Pressemitteilungen/DE/2025/2025185.html

La logique de raisonnement est difficile à suivre pour les non-juristes. Jetons donc d’abord un coup d’œil aux bases légales :
Selon le § 839 alinéa 1 phrase 1 du BGB, un fonctionnaire est responsable des dommages s’il viole un devoir officiel. L’art. 34 phrase 1 de la Loi fondamentale (GG) précise que le fonctionnaire ne répond pas personnellement avec son patrimoine : c’est l’État qui assume la responsabilité.

Comment le BGH en vient-il à considérer que les médecins sont des "fonctionnaires" ?

Une chose est incontestable : les médecins des cabinets et cliniques n’ont jamais été nommés fonctionnaires d’État. Mais le mot « fonctionnaire » ne doit pas être compris dans son sens statutaire. Depuis des décennies, la jurisprudence a plutôt forgé la notion de fonctionnaire au sens de la responsabilité :
Un fonctionnaire au sens de la responsabilité inclut également les privés qui aident le secteur public à remplir ses missions. Par exemple, si une entreprise de remorquage enlève une voiture mal garée pour le compte de la police et l’endommage par négligence, elle a aidé la police à maintenir l’ordre dans la circulation. L’entreprise de remorquage est donc un « fonctionnaire » au sens du § 839 alinéa 1 BGB, et c’est l’État qui couvre les dommages à la voiture.

Le BGH raisonne de la même manière dans le contexte actuel : l’État a offert les injections COVID gratuitement partout et a mobilisé les médecins à cet effet. Cela constituait un « moyen central pour faire face à la pandémie de corona » et servait « non seulement à la protection individuelle de la santé, mais aussi au maintien des fonctions étatiques centrales et des domaines essentiels des services publics ». Le récit selon lequel nous avons été confrontés à la pire pandémie de virus respiratoire de l’histoire et que seule l’injection sacrée nous a protégés n’est même pas remis en question par le BGH. Mieux encore : les médecins, en administrant les injections, ont même permis aux gens d’accéder partout là où la règle 2G s’appliquait. Ils ont ainsi participé à l’administration étatique des interventions, comme une sorte de contrôle 2G.

Le jugement du BGH réduit massivement les chances d’obtenir des dommages et intérêts pour une information vaccinale défectueuse :

1. L’État n’est responsable selon le § 839 alinéa 1 phrase 2 BGB que s’il n’existe aucune autre possibilité de recours. Une personne lésée par le vaccin COVID doit donc d’abord poursuivre le fabricant. Peu importe que l’État rembourse au fabricant tous les frais, y compris judiciaires et d’avocat. Ce n’est qu’en cas d’échec de cette action que la République fédérale d’Allemagne peut être poursuivie.

2. Si l’on conteste les risques et la manière dont le médecin a informé, il n’est plus le défendeur mais un témoin. En tant que défendeur, il devrait prouver selon le § 630h alinéa 2 phrase 1 BGB qu’il a correctement informé le patient. Maintenant que seul l’État est responsable au titre de la responsabilité administrative, la personne lésée doit prouver la violation du devoir officiel (c’est-à-dire l’erreur d’information), et le médecin attestera naturellement en tant que témoin avoir correctement informé. Si le tribunal ne trouve aucun indice tangible que le médecin ment ou se trompe, il lui donnera raison et rejettera la plainte pour responsabilité de l’État de la personne lésée.

Avec ce jugement du BGH, ceux qui ont subi un préjudice suite à l’injection COVID sont une fois de plus amèrement tournés en dérision. À l’époque, la vaccination était présentée comme un signe de solidarité. Cette solidarité a été refusée dès le départ aux victimes de la campagne vaccinale et continue de l’être.

Salutations attristées
Votre dévoué
Martin Schwab



Author: AI-Translation - Martin Schwab  | 

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