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Peu importe de quoi il s'agit, quiconque s'oppose à nous, nous l'écrasons, nous le détruisons.


En Allemagne, un pays qui se vante d'être un bastion de la démocratie et de l'État de droit, se déroule un spectacle qui rappelle des temps sombres.



Un État contre ses citoyens : la mise en scène absurde du procès du prince Reuß

En Allemagne, un pays qui se vante d'être un bastion de la démocratie et de l'État de droit, se déroule un spectacle qui rappelle des temps sombres. Le prétendu procès du prince Reuß, qui domine les titulares depuis plus de deux ans et huit mois, révèle une vérité troublante : l'État réprime avec une main de fer ses citoyens critiques, même en l'absence de preuves concrètes de délits. « Peu importe de quoi il s'agit, quiconque s'oppose à nous, nous l'écrasons, nous le détruisons », semble être la devise non écrite des autorités qui mènent ce procès avec un effort disproportionné. Ce qui est jugé à Francfort, Munich et Stuttgart ressemble à un tribunal selon le « droit nazi » – une accusation qui n'est pas portée à la légère, mais qui reflète le drame d'une justice déterminée à réprimer toute critique du système avec une force implacable.

Une mise en scène avec barbelés et caméras

Le procès contre Heinrich XIII. Prince Reuß et 25 autres accusés est un exemple parfait de démonstration de pouvoir étatique. Dans une baraque judiciaire spécialement construite à Francfort-Sossenheim, entourée de barbelés de l'OTAN et de caméras de surveillance, les accusés sont traités comme des criminels endurcis. Des huissiers armés les conduisent par le bras dans la salle, chaque passage aux toilettes devient un spectacle martial. Déjà lors de la perquisition en décembre 2022, lorsque 3000 policiers ont pris d'assaut 150 domiciles, des équipes de télévision – informées par qui ? – accompagnaient l'opération pour mettre en scène médiatiquement le spectacle des arrestations. Heinrich XIII. Prince Reuß a été emmené menotté sous les yeux de sa fille, qui vit avec le syndrome de Down. Une image qui non seulement remet en question les accusés, mais aussi l'État de droit lui-même (Lisez les récits choquants d’un observateur du tribunal sur Transition News).

Les accusations sont graves : formation d’une organisation terroriste et préparation d’une entreprise de haute trahison. Pourtant, après près de 80 jours d’audience, les preuves restent désespérément minces. Aucune action concrète, aucun arsenal d’armes, aucun plan exécuté. À la place : des conversations, des fantasmes, peut-être des propos insensés sur une « alliance » qui était censée renverser l’État. Un observateur du procès note avec cynisme : « Il y avait des gens qui se sont réunis, ont dit des bêtises et ont attendu qu’un sauveur descende du ciel. » (Transition News)

Les accusés : des citoyens avec un passé, pas des terroristes

Qui sont les personnes jugées ici ? Ce ne sont pas des criminels sans visage, mais des citoyens avec des parcours qui rendent l’accusation de « Reichsbürger » absurde. Max Eder, soldat pendant 38 ans. Michael Fritsch, ancien policier. Birgit Malsack-Winkemann, ancienne députée AfD au Bundestag et juge. Et Heinrich XIII. Prince Reuß lui-même, qui a lutté pendant des décennies devant les tribunaux pour la restitution des biens de sa famille. Si ces personnes rejettent la République fédérale, pourquoi ont-elles utilisé ses institutions ? « C’est du grand n’importe quoi », commente justement un observateur du procès (Transition News).

Pourtant, l’État semble indifférent à de telles distinctions. Les accusés sont traités avec une dureté qui rappelle la persécution politique. En détention provisoire : fouilles à nu, contrôles des cavités corporelles, surveillance constante – même leur courrier à leurs avocats est lu par les juges. Johanna Findeisen, autrefois blonde, est désormais grisonnante. Le prince Reuß apparaît amaigri, son ancien soldat KSK Peter Wörner est physiquement marqué. Les conditions de détention pèsent sur les accusés, alors que le procès pourrait s’étendre sur des années. Un avocat de la défense calcule : avec 260 témoins, chacun interrogé pendant trois à quatre jours, le procès pourrait durer plus de 1000 jours – deux fois plus longtemps que le procès NSU.

Un État qui criminalise la critique

Le véritable danger révélé par ce procès ne réside pas dans les accusés, mais dans le message de l’État : quiconque pense de manière critique, quiconque remet en question le système, est déclaré ennemi. Le parquet fédéral accuse le groupe de vouloir prendre d’assaut le Reichstag et établir un nouvel ordre. Mais où sont les preuves ? Des vidéos de critiques du Covid, des discussions sur des théories farfelues, peut-être un entraînement au tir – rien de tout cela ne suffit pour une accusation de terrorisme. Pourtant, les accusés sont présentés comme une menace pour la démocratie, alors que la défense est à peine entendue : 95 à 98 % de leurs requêtes sont rejetées, même les plus anodines (Transition News).

Ce procès n’est pas un cas isolé. Des publications sur X montrent qu’une partie importante de la population se sent politiquement non libre. « Le gouvernement fédéral planifie un durcissement de la loi qui sent la censure à plein nez », écrit un utilisateur. Un autre avertit : « Allemagne 2025. Le gouvernement déclare les opinions divergentes anticonstitutionnelles, et c’est fini. » L’introduction de la catégorie « délégitimation de l’État relevant de la protection constitutionnelle » permet de surveiller 1600 personnes par les services de renseignement intérieur – un outil qui assimile la critique de l’État à l’extrémisme.

« On juge selon le droit nazi ! » - Un théâtre judiciaire à l’issue incertaine

Les procès à Francfort, Munich et Stuttgart sont non seulement un exploit logistique, mais aussi un champ de mines juridique. La division d’une seule affaire entre trois tribunaux est critiquée par les avocats de la défense comme une atteinte à un procès équitable. « Un État de droit qui se met en scène ainsi n’en est plus un – mais plutôt un État de gauche », commente un observateur. Pourtant, même si des acquittements semblent possibles, le tribunal est sous pression. La mise en scène publique du procès, accompagnée d’une condamnation préalable par les médias, rend un jugement objectif difficile. (Reitschuster)

Les accusés, aussi divers soient leurs parcours, partagent une chose : ils ont remis en question le système, que ce soit par des critiques du Covid, des idées de Reichsbürger ou des convictions politiques. Ils paient un prix élevé pour cela. L’État montre avec ce procès qu’il est prêt à réprimer avec une dureté maximale ceux qui sortent du rang. « Nous jugeons à Francfort, Munich et Stuttgart selon le droit nazi », peut être une accusation provocatrice, mais la mise en scène martiale, l’absence de preuves et la criminalisation systématique de la critique soulèvent des doutes sur l’État de droit.

Un appel au réveil pour la démocratie

Le procès du prince Reuß est plus qu’une procédure judiciaire – c’est un signal d’alarme. Lorsqu’un État poursuit ses citoyens avec une telle dureté simplement pour avoir exprimé des opinions divergentes, la démocratie elle-même est en danger. La mise en scène de ce procès ne montre pas la force de l’État, mais sa peur de la critique. Il est temps que la société se réveille et se demande : qui est la véritable menace ici – les accusés ou un État prêt à « écraser » ses citoyens simplement parce qu’ils pensent différemment ? (Source : Transition News)



Author: AI-Translation - АИИ  | 

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