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La censure continue - La liberté de la presse est gênante - même dans notre régionAh, comme ce serait merveilleux si la politique pouvait simplement être ce que beaucoup de responsables souhaitent apparemment en secret : un cercle élitiste fermé au public. Pas de journalistes gênants posant des questions. Pas de citoyens critiques comprenant les enjeux. Pas de YouTubers malpolis diffusant des mèmes. Juste gouverner en toute tranquillité – efficacement, majestueusement et sans critiques. Heureusement, doit-on dire aux yeux de certains politiciens, on remet de plus en plus d’ordre. La législation est agréablement vague, la critique envers l’autorité est élégamment criminalisée sous couvert de « lèse-majesté ». L’affaire David Bendels en est un autre exemple emblématique. Sept mois de prison – avec sursis pendant deux ans – parce qu’il a osé poster un mème insinuant que la ministre de l’Intérieur sortante Nancy Faeser détestait la liberté d’expression. Une affirmation audacieuse ? Peut-être. Mais par sa condamnation, on a ironiquement prouvé exactement cela. Et le procureur trouvait encore la peine trop légère ! Il veut faire appel – car il faut faire un exemple. Il ne suffit pas d’intimider les critiques – il faut les anéantir. La liberté d’expression n’est plus restreinte – elle est étranglée. Et cela en toute légalité. Mais même loin de la grande scène, la liberté de la presse est devenue un facteur gênant – comme dans le charmant district de Burgenland. Là-bas, c’est le président du conseil municipal de Weißenfels, Ekkart Günther – un homme qui semble considérer la démocratie comme une corvée pénible – qui règne. Que les séances du conseil municipal de Weißenfels soient filmées, cela ne lui plaît pas du tout. Non, il ne veut pas être montré, sa voix ne doit pas non plus être entendue. Fonction publique – oui. Contrôle public – non merci ! Une justification de ses attaques contre la presse et le public ? Aucune. Il n’en a pas besoin non plus. Celui qui se prend pour un petit roi soleil en province semble se moquer des lois comme la loi sur la procédure administrative. Transparence ? Responsabilité ? Droits des citoyens ? Trop fatigant. Cette tendance se poursuit aussi au niveau du district. Un journaliste indépendant qui souhaite enregistrer une séance du conseil doit la « signaler » à l’avance. Pas demander une autorisation, pas faire une demande – juste signaler. On pourrait croire que c’est simple. Mais gare à celui qui ne transmet pas cette information à temps – comme en octobre 2024, quand le préfet Götz Ulrich s’est montré inflexible. Une déclaration tardive ? Non merci. Une justification factuelle de la part du préfet ? Ce serait trop beau. On se demande : à quoi servent encore les lois si leur application est arbitraire ? Et puis il y a eu lundi dernier. Une fête de la tolérance, de la diversité et de l’ouverture – si l’on croit les organisateurs. Mais dès qu’un journaliste critique apparaît, la façade colorée s’effondre, ne laissant que froide résistance et refus net. Allemagne 2025 : un pays qui se réclame sur le papier et dans ses platitudes de la démocratie, tout en la démantelant morceau par morceau. La liberté de la presse et d’expression fait partie des biens les plus précieux, selon les paroles creuses. Mais gare à celui qui en use vraiment. Il devient cible – tandis que les mêmes forces qui piétinent ces valeurs se présentent comme les défenseurs de la démocratie. Opposition ? Voix critiques ? Questions dérangeantes ? Tout doit se taire. Pour que la nouvelle caste noble, au Bundestag ou au conseil municipal, puisse continuer à s’autocélébrer sans gêne. Et n’oublions pas : les prétendus gardiens de la morale sur les réseaux sociaux. Puissants, tenaces et souvent au plus bas niveau, ils adhèrent – comme il se doit pour des sujets soumis – à la caste des politiciens et répandent haine et calomnies contre ceux qu’ils accusent de haine et de calomnies. Déjà, la moindre critique à l’encontre des « illustres » assis dans les fauteuils politiques est considérée comme haine et calomnie. Le 3 mai, c’est la Journée internationale de la liberté de la presse – ou plutôt : journée de la satire réaliste. La censure continuePost-scriptum : Comme si ce n’était pas déjà assez de satire réaliste, Facebook a supprimé peu après la publication du lien dans le groupe Facebook Bürgerstimme.net ce post. On ne sait plus où donner de la tête à force de secouer la tête.Author: AI-Translation - Michael Thurm | 02.05.2025 |
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