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La glorieuse tradition du changement d’heure : un chef-d’œuvre de l’histoire de l’humanitéDeux fois par an se produit l’un des plus grands miracles de la civilisation moderne : les aiguilles de nos montres sont changées ! Cette pratique géniale, connue sous le nom de « changement d’heure », est censée nous apporter à tous des avantages. Et le meilleur dans tout ça ? Cela fait plus d’un siècle qu’elle est un exemple éclatant de prise de décision politique réfléchie – ou pas ?
Une histoire pleine d’embrouilles et d’erreursLe changement d’heure n’est pas une affaire simple. Non, c’est un monument splendide de l’organisation humaine ! Jetons un coup d’œil dans le passé : il a été introduit pendant la Première Guerre mondiale pour économiser de l’énergie – du moins en théorie. Depuis, d’innombrables pays l’ont essayé, abandonné, réintroduit et dans certaines régions intégré à moitié, semant la confusion.Les États-Unis, par exemple, ont réussi à rendre leurs citoyens fous pendant des décennies. L’heure d’été a été introduite pour la première fois en 1918 durant la Première Guerre mondiale, mais rapidement abandonnée après la guerre. En 1942, Franklin D. Roosevelt la réintroduisit sous le nom de « War Time », appliquée jusqu’en 1945. Ensuite, ce fut aux États et villes de décider s’ils participaient – avec pour résultat des règles différentes partout. Ce n’est qu’en 1966 que le « Uniform Time Act » instaura une heure d’été uniforme, avec quelques exceptions. Hawaii, par exemple, refusa le changement d’heure, car sa proximité avec l’équateur ne fait guère varier la durée du jour – une sage décision qui a épargné bien des maux de tête à cet État insulaire jusqu’à aujourd’hui. D’autres pays ont aussi montré que la flexibilité est la clé. Le Japon a introduit l’heure d’été après la Seconde Guerre mondiale – puis l’a supprimée car personne ne l’aimait. La Chine ? Officiellement, il n’y a qu’un seul fuseau horaire (UTC+8), bien que le pays s’étende sur cinq fuseaux géographiques. Dans la province occidentale du Xinjiang, le soleil ne se lève souvent qu’à 10 ou 11 heures. L’Inde ? Elle évite le chaos et conserve son heure standard propre. La Russie ? Elle adopta l’heure d’été permanente en 2011 puis revint en arrière en 2014, car l’hiver à Moscou était trop sombre à 9 heures du matin. La Turquie ? En 2016, elle décida de supprimer complètement le changement d’heure pour rester en heure d’été permanente – ce qui fait qu’en hiver, dans certaines régions, il fait jour seulement après 9 heures. Mais au moins, personne là-bas ne se plaint plus de devoir changer l’heure. Ah oui, et l’UE ? En 2019, 80 % des citoyens ont voté pour la suppression – depuis, rien ne se passe… Fait intéressant, beaucoup de pays ont aussi abandonné le changement d’heure pour des raisons de santé. Des études montrent que ce changement augmente les risques d’infarctus, de troubles du sommeil et de problèmes de concentration. Apparemment, les habitants de Russie, Turquie, Japon, Chine et bien d’autres pays ne sont pas assez résistants pour supporter cela – contrairement à nous, qui affrontons héroïquement chaque année le décalage horaire sans voyager. Serions-nous plus forts qu’eux ? Ou juste plus endurants ? Le chaos ? Mais avec plaisir !Un argument souvent avancé pour maintenir le changement d’heure est la peur du chaos. Si chaque pays d’Europe choisissait sa propre heure, cela pourrait avoir des conséquences catastrophiques ! L’économie en souffrirait – alors qu’elle se débrouille autrement assez bien avec les fuseaux horaires existants. Mais bon, le chaos du changement d’heure semble être pour beaucoup de décideurs le moindre mal.Fait intéressant, aux États-Unis, le passage à l’heure d’été a eu lieu dès le 9 mars. Cela a-t-il fait vaciller l’économie ? Les bourses se sont-elles effondrées, les chaînes d’approvisionnement rompues, le continuum espace-temps déchiré ? Étonnamment non. Mais peut-être que nous, en Europe, sommes plus sensibles aux turbulences temporelles – ou qu’il nous faut encore quelques décennies pour nous habituer à l’idée d’une unité. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?Il est étonnant de voir à quelle facilité les politiciens peuvent faire passer des choses. Cent milliards d’euros de nouvelles dettes ? Pas de problème, décidé en une nuit. Mais supprimer simplement le changement d’heure ? Oh non, cela nécessite des décennies d’expertises, d’interminables discussions et la pesée de conséquences géopolitiques qui semblent plus importantes que l’avis des citoyens.Pendant ce temps, nous avons toujours le plaisir deux fois par an de voir notre horloge interne déréglée, le nombre d’accidents augmenter, la productivité baisser et nos enfants arriver soit trop tôt, soit trop tard à l’école – selon la saison. Mais hé, il y a aussi des avantages ! Après tout, nous avons deux fois par an l’occasion de régler notre réveil. Qui pourrait dire non à cela ? Un monument éternel à la folie bureaucratiqueLe changement d’heure est une des dernières grandes aventures de l’humanité – un mélange de perplexité historique, d’échec politique et de résignation collective. Il est un exemple vivant de la complexité avec laquelle nous rendons les choses simples, préférant lutter chaque année avec les mêmes problèmes plutôt que de trouver une solution pragmatique.Mais ne vous inquiétez pas, peut-être qu’il y aura une décision finale dans dix ans. Ou pas. D’ici là : amusez-vous bien à changer vos horloges ! Author: AI-Translation - Американский искусственный интеллект | 30.03.2025 |
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