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École - Espace sans droit et lieu d’arbitraire ?Un directeur d’école dans le district de Burgenland ignore délibérément la loi et semble penser qu’il peut agir de manière arbitraire.
Comme rapporté avant les vacances, les parents ont dû attendre parfois des heures dans les cabinets médicaux avec leurs enfants uniquement pour obtenir un certificat médical exigé par les directions d’école. Cela s’est souvent fait dans des circonstances douteuses, car, selon la législation en vigueur, les parents décident eux-mêmes si leur enfant est apte à aller à l’école ou non. Un certificat ne peut être exigé que dans des cas particuliers, lorsqu’il existe des doutes fondés sur la maladie de l’enfant, comme l’a justement souligné une pédiatre. Pourtant, les directions d’école exigent systématiquement et sans base légale ces certificats. L’incident avant les vacances : Escalade d’un conflit sur l’interprétation du droitUn autre cas, survenu peu avant les vacances, révèle l’ampleur de cette pratique arbitraire. Un enfant a été signalé malade par téléphone par ses parents un vendredi. La secrétaire de l’école a insisté pour qu’un certificat médical soit fourni, ce que les parents ont jugé illégal. Lorsqu’ils ont demandé à parler au directeur, celui-ci a surenchéri : il a affirmé que le règlement scolaire exigeait un certificat médical.Lorsque les parents ont alors invoqué la législation et exigé un acte administratif écrit conformément à la loi sur la procédure administrative (VwVfG), comme le prévoit la loi dans de tels cas (§ 35 VwVfG définit l’acte administratif comme une mesure souveraine visant à régler un cas particulier, ayant un effet juridique direct à l’extérieur. Selon § 37, al. 2 VwVfG, les actes administratifs doivent être émis par écrit à la demande des personnes concernées), cela a rencontré l’incompréhension du directeur. Ce dernier a qualifié la loi sur la procédure administrative de « sottise » et a maintenu que le règlement scolaire prévalait. Il a suggéré aux parents de s’adresser à un avocat. Il est même allé jusqu’à leur conseiller de changer d’école si les règles ne leur convenaient pas, et les a renvoyés à l’inspection académique pour toute plainte. L’incident a encore escaladé lorsque le directeur a menacé de noter les jours d’absence pour maladie de l’enfant comme non excusés sur son bulletin. Cette menace est juridiquement problématique, car elle pourrait être interprétée comme une contrainte au sens de l’article § 240 du Code pénal (StGB). La contrainte est caractérisée lorsqu’une personne, par menace ou violence, force une autre à accomplir, tolérer ou s’abstenir d’un acte. La menace du directeur de noter les absences comme non excusées pour pousser les parents à fournir un certificat médical pourrait être considérée comme une telle contrainte. Analyse du comportement du directeur d’écoleLe comportement du directeur montre un mépris flagrant de l’ordre juridique. Au lieu de respecter les dispositions légales et de donner aux parents la possibilité d’obtenir une justification écrite de sa demande sous forme d’acte administratif, le directeur a placé son interprétation du règlement scolaire au-dessus de la loi en vigueur. Cette attitude est extrêmement problématique, car les écoles ne sont pas des zones de non-droit. Elles sont soumises aux lois générales, y compris la loi sur la procédure administrative.Le refus du directeur de reconnaître les bases légales et sa menace de noter les jours d’absence comme non excusés révèlent un manque de conscience juridique et des tendances autoritaires. Ce comportement est non seulement juridiquement douteux, mais remet également en question l’aptitude du directeur à diriger une école. Les écoles doivent être des lieux d’apprentissage et de respect mutuel. Cependant, si une direction scolaire interprète le droit de manière arbitraire, cela met en danger non seulement l’intégrité du système scolaire, mais aussi la fonction de modèle pour les élèves. Les enfants apprennent de la direction comment gérer les conflits et l’autorité. Un directeur qui ignore les normes juridiques et agit par la pression et les menaces envoie un signal désastreux à la génération montante. Conseils aux parents pour gérer ce type de directeursLes parents doivent faire preuve d’assurance et connaître leurs droits dans de telles situations. Voici quelques étapes importantes :Vérifier les bases légales : Les parents doivent s’informer à l’avance sur la législation. Dans ce cas, il existe des dispositions claires stipulant qu’un certificat ne peut être exigé qu’en cas de doutes fondés sur la maladie. Une exigence systématique de certificats est illégale. Exiger un acte administratif : Si une école formule des exigences illégales, les parents peuvent insister sur un acte administratif écrit conformément à l’article § 37, al. 2 VwVfG. Si la direction refuse, cela indique que la demande n’est pas juridiquement tenable. Rester factuel et persévérant : Les menaces et tentatives d’intimidation de la part de la direction ne doivent pas décourager les parents. Dans de tels cas, il est conseillé de rester calme, persévérant et de rappeler la législation. Déposer une plainte pour manquement au devoir : Si le comportement de la direction reste inapproprié, les parents ont le droit de déposer une plainte pour manquement au devoir auprès de l’inspection académique compétente. La documentation de toutes les conversations et incidents est cruciale. Consulter un avocat : Dans les cas particulièrement graves, il peut être utile de faire appel à un avocat. Cette démarche montre à la direction que les parents prennent leurs droits au sérieux et sont prêts à les faire valoir en justice si nécessaire. Il est clair : Les écoles ne sont pas des zones de non-droit. Les droits des parents et des élèves doivent être respectés, et il est du devoir des directions d’école de se conformer à la loi en vigueur. Dans ce cas, les parents ont jusqu’à présent renoncé à déposer une plainte pour manquement au devoir et observent le comportement du directeur à l’avenir. Ils se réservent le droit, si le directeur adopte à nouveau un tel comportement, de déposer une plainte et de prendre d’autres mesures. Les parents ne considèrent pas l’exigence d’un certificat comme un acte administratif, car le directeur refuse de l’émettre par écrit. Par conséquent, cette exigence n’a pas à être satisfaite. Si des absences non excusées sont effectivement notées sur le bulletin, celui-ci peut être contesté au sens de la loi sur la procédure administrative, car un bulletin équivaut à un arrêté (acte administratif). Ou bien, les parents considèrent ces prétendues absences non excusées comme négligeables. Le comportement du directeur, tel que décrit dans ce cas, est très probablement illégal. Il viole à plusieurs égards les dispositions légales.Violation de la loi sur la procédure administrative (VwVfG) : Le directeur a réagi de manière dédaigneuse à la demande légalement correcte des parents d’émettre un acte administratif écrit et a rejeté cette demande en affirmant que le règlement scolaire prévalait. Or, la loi sur la procédure administrative (§ 35 VwVfG) stipule que des mesures souveraines, comme l’obligation de fournir un certificat médical, doivent être émises par écrit si les personnes concernées en font la demande (§ 37, al. 2 VwVfG). Le directeur a clairement ignoré cette obligation, ce qui constitue une violation du droit. S’il émettait un tel acte administratif, celui-ci pourrait être contesté par un recours et, le cas échéant, une plainte. Le recours et la plainte ont un effet suspensif, ce qui signifie que les parents ne doivent pas satisfaire l’exigence du directeur. Contrainte au sens de l’article § 240 StGB : La menace du directeur de noter les jours d’absence pour maladie de l’enfant comme « non excusés » sur le bulletin, bien qu’une notification de maladie ait été faite, pourrait remplir les critères de la contrainte au sens de l’article § 240 du Code pénal (StGB). Selon cet article, la contrainte est caractérisée lorsqu’une personne, par violence ou menace d’un mal considérable, force une autre à accomplir, tolérer ou s’abstenir d’un acte. Dans ce cas, la menace de noter les absences comme non excusées pour forcer les parents à fournir un certificat médical pourrait être considérée comme un « mal considérable », car une telle note sur le bulletin pourrait avoir des conséquences négatives importantes pour l’enfant. L’attente de plusieurs heures chez le pédiatre peut également être considérée comme un « mal considérable ». Conséquences juridiques pour le directeur : Si l’acte est qualifié de contrainte, le directeur risque des conséquences pénales. Les fonctionnaires, comme les directeurs d’école, ont une responsabilité particulière et sont soumis à un droit pénal renforcé. Pour les fonctionnaires, les dispositions du StGB s’appliquent également en cas d’infractions comme la contrainte, et selon l’article § 240 StGB, la contrainte peut être punie d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à trois ans ou d’une amende. Étant donné que le directeur est fonctionnaire, des mesures disciplinaires peuvent également s’ajouter aux sanctions pénales. Sanctions en cas de contrainte pour les fonctionnaires : Les fonctionnaires sont soumis à des réglementations disciplinaires strictes en cas d’infractions. Outre les sanctions pénales (emprisonnement ou amende), une condamnation pour une infraction peut entraîner de graves conséquences en droit disciplinaire pour un fonctionnaire, notamment : » Avertissement » Mise à la retraite » Licenciement du service » Procédure disciplinaire : Si la contrainte est confirmée dans le cadre d’une procédure disciplinaire, cela pourrait entraîner le licenciement du statut de fonctionnaire. Conséquences pour le directeur : En cas de condamnation pénale, cela peut entraîner un licenciement du statut de fonctionnaire, surtout si le directeur est condamné à une peine d’emprisonnement pendant un certain temps. Même en cas de sanction moindre (par exemple, une amende), cela peut entraîner l’ouverture d’une procédure disciplinaire, qui peut également conduire à une mutation ou un licenciement. De plus, une faute grave dans l’exercice de ses fonctions peut entraîner la perte de la pension de fonctionnaire. Le comportement du directeur est juridiquement problématique et pourrait entraîner des conséquences pénales et disciplinaires. La menace de noter des absences non excusées sur le bulletin de l’enfant remplit probablement les critères de la contrainte. En cas de plainte, le parquet devrait examiner cette accusation. Pour les parents, il est recommandé de documenter la situation par écrit et d’envisager, si nécessaire, des démarches juridiques pour empêcher d’autres abus de ce type. Author: AI-Translation - Redaktion | 11.10.2024 |
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